Cette section comprend trois pages successives liées

 

rue Rêve d'Or, 66, La Louvière

La maison d'Ernest et de Victoria, 66 rue Rêve d'or, où Paul Goens a passé son enfance. Il s'agit d'une maison achetée par Ernest Goens en 1921. Vue du jardin, on voit les deux fenêtres arrières qui éclairaient le bureau (à droite) et la petite pièce de séjour. On voit, en outre, sur la partie

gauche, le classique bâtiment annexe où se trouvait la cuisine qui donnait sur une terrasse légèrement surélevée. Le WC à citerne était séparé et est la dernière partie du bâtiment. On voit un peu mieux l'ensemble avec la photo suivante où l'on distingue Victoria et une inconnue (sans doute Marie Laveau).

Ensuite, vue sur le jardin, en famille en 1937. Paul et sa mère, son père et sa femme. A remarquer que l'on ne peut distinguer qu'un bâtiment, situé sans doute boulevard Reine Astrid. Pas d'hôpital, pas de stade, pas de building à cette époque.

rue Gambetta à La Louvière, N° 50, avant les bombardements. Cette maison fut sinistrée lors des bombardements américains sur la gare de La Louvière, en mai 1944.

 

On voit ici Paul Goens et Jean-Marie, dans la pièce de séjour qui donnait sur la cour. Paul, Simone et les enfants restèrent à Gambetta de 1937 à 1944, ce qui n'est pas négligeable.

A la suite du sinistre, la famille s'installa dans la ferme des Sibille à Familleureux. Elle y resta 9 mois, le temps de retrouver une nouvelle maison. De cette époque, il semble que nous n'ayons pas retenu de photographie.

Rue Gambetta, la même pièce vue sous un autre angle. Avec Simone et ses trois aînés; ils sont accompagnés par le parrain de Bernadette, Herman Schulze.

 

Sur cette très belle photo comme on n'en fait plus, on voit la cour et le début du jardin

La façade, avec les soeurs Manette et Herman Schulze


 

 

Sur cette dernière photo représentant Simone et ses trois aînés, ainsi que Lucille Sibile (qui tient Christian), la marraine de Bernadette, on distingue très bien le numéro de la maison, N°50. La façade n'ayant pas été atteinte par les bombardements, cette maison existe toujours en 2002.

La maison de Henri Despiegeleer et Emilia Malrée, rue Haute, à Haine-St-Paul.

C'est la maison d'enfance de notre mère. Voici une vue partielle de la façade que l'on peut voir sur d'autres photographies. La rue fut renommée en rue d'Avondance.

L'arrière de la maison donnait sur une courette qui fut couverte ultérieurement. En voici une idée des années 60. On voit à gauche la seconde forge qui donnait sur la bergerie devenue ultérieurement une salle de bain. Auparavant, on se lavait à l'eau de pluie que l'on puisait au préalable directement dans la citerne à l'aide d'un seau.

Le passage donnait sur les jardins arrières ainsi que sur le jardin suspendu que l'on distingue à droite.

La cour de l'atelier et l'atelier de forge. Ce bâtiment a été détruit après la vente et on y a construit une nouvelle demeure.

Sur la photo suivante datant de 1935, fiançailles Goens-Despiegeleer, on distingue l'arrière de la maison, le terrain étant en forte déclivité, en direction de la Haine située à 100 mètre en contre-bas. Derrière Henri Despiegeleer, on distingue la bergerie; derrière Victoria, on distingue la seconde forge; derrière Ernest, on distingue la dépendance où se trouvait la salle de séjour et d'où sort la fumée et derrière Elise, on distingue le corps du bâtiment séparé du suivant par une ruelle.


Un curieux portique, digne du facteur Cheval.

On distingue peut-être mieux la bergerie et la seconde forge


Vacances de l'été 1946, alors que Maman attendait Emmanuel. Le château Lenain à Casteau-Maisières, près de la plaine de manoeuvre où furent construites plus tard les installations du SHAPE.

 

Ernest Goens et ses trois petits-enfants, devant l'étang de la propriété. A remarquer, le col cassé de l'aïeul.

 

Tivoli-Bas: rue Reine Astrid N° 3, aujourd'hui boulevard du Tivoli. Photo de la façade. Simone et ses trois enfants en 1948, avec Marcelle Ghislain, Michel Romignot et leur fille

Réunion de famille dans la salle à manger. On reconnaîtra, de gauche à droite: Bernadette Goens, Adelina Spircart, Simone Despiegeleer, Emmanuel, Elise Goens, Jean-Marie, Christian, Ernest Goens, Henri Deville, Marcel Bronchain, Madame Bronchain, Emilia Malrée et Henri Despiegeleer

Tivoli-Haut: 1948-1949

Nous y sommes restés le temps que la maison de la rue Demaret soit libre

Photo prise du jardin, donnant une idée. Alexandre Van Dieghem, Henri Deville, Henriette Despiegeleer, Emilia Malrée.

 

Cette photographie, représentant la maison, Jean-Baptiste Straekman, le voisin et Jean-Marie Goens. Cette prise de vue montre la colline de Redemont totalement vide, sans aucun bâtiment, ni stade, ni hôpital. Il n'y avait aucune maison en vis-à-vis. C'est l'époque où Jean-Marie fit sa communion solennelle.

Ernest Goens se promène juste devant la maison de Tivoli-Haut avec les trois plus jeunes enfants de Paul. A remarquer, l'absence totale de bâtiment à droite et la terre battue.