Voici la suite de mon billet précédent.
Je dirai d'abord que je n'avais jamais entendu parler de Monsieur Deng Ming (ou Zheng Ming) en 2006. Si les cousins avaient rencontré ce Monsieur en 2005, je l'ignorais et ils ne m'en avaient pas fait mention ou bien je n'y ai pas fait attention.
Dès lors, certains se demandent comment je connais Deng Ming, conservateur des archives de la ville de Lanzhou??? Je le connais par hasard. En regardant la télévision chinoise, un reportage sur le pont Sun Yat Sen.
C'est un peu grâce à Madame Lang que je suis entré en rapport avec mon ambassade à Beijing. Je leur ai déclaré que j'intervenais au nom des familles Splingaerd et consor et leur disant tout l'intérêt qu'il y avait de mes recherches dans le cadre des relations sino-belges et je leur parlais du pont. Après quelques réticences, le secrétariat de l'ambassade s'est décidée à intervenir et j'ai alors fourni la référence que je connaissais: Monsieur Ding Ming à Lanzhou. Celui-ci a alors fait parvenir à Beijing les documents que vous connaissez et qui sont relatifs à l'action de Lin Fuchen et de Lin Ah-De à Lanzhou. Comme je ne disposais pas de Fax, j'ai demandé à l'ambassade qu'elle envoie les feuilles directement à Los Angeles. Ces feuilles ont été digitalisées pour pouvoir être communiquées via le Web. Merci de l'intervention de Anne Splingaerd, auteur du livre "The Belgian Mandarin".
L'intérêt de ces papiers est évidemment très relatif puisqu'ils sont imprimés en chinois. Il y a 32 pages.
On distingue cependant plusieurs fois le nom de Lin Ah De ou Lin Canzan (qui est son nom de fonction), ainsi que le nom de son père, Lin Fuchen. Ces noms chinois sont ceux d'Alphonse Splingaerd et de Paul Splingaerd.
Les personnes intéressées par le billet qui correspond à la suite de cet article sont priées de le lire à partir de la rubrique Nouveautés - Latest News et de cliquer sur le lien correspondant. Ce débat n'est pas public et ne concerne que la famille.
Christian Goens
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