POMPES FUNEBRES ET CORDONS DE POELE - LES FUNERAILLES BOURGEOISES D'ANTANT

Dans un contexte généalogique et en traitement de la famille Pourbaix, on trouvera ci-après des extraits d'articles de journaux ayant trait à des funérailles successives au sein de la même famille, des gens établis à La Louvière - Saint-Vaast depuis des lustres et impliqués dans la vie sociale de la cité. On trouvera les éléments généalogiques correspondants à la section membres.

Journal "Les Nouvelles" du 11/02/1930

MORT DE M. ALFRED POURBAIX

M. Alfred Pourbaix, dont la santé donnait depuis quelques jours, de sérieuses inquiétudes à sa famille, vient de mourir; il s'est éteint entouré de ses enfants et petits-enfants, mardi, à midi.

M. Alfred Pourbaix, qui était né à Haine-Saint-Paul le 6 janvier 1843, était un des vétérans de La Louvière. Tout le monde le connaissait et il était sympathique à tout le monde.

Louviérois dans l'âme, il n'a jamais cessé, jusqu'à son dernier souffle, de participer à la vie de notre cité, qu'il avait vue naître, croître et prospérer, à la prospérité de laquelle il avait d'ailleurs puissamment contribué.

M. Alfred Pourbaix, libéral convaincu, très attaché à notre drapeau, fut conseiller communal et échevin. Il fut élu pour la première fois comme conseiller communal le 19 octobre 1884 et il devint échevin le 14 avril 1891. Il apporta à l'accomplissement de ses mandats une conscience et un dévouement qui ne se démentirent jamais.

Il avait coopéré à la fondation de l'Harmonie de La Louvière, à laquelle, durant 73 années, il resta fidèlement attaché. Il se dépensa sans compter pour la phalange libérale, payant de sa personne, montrant aux musiciens, parmi lesquels il alla s'asseoir durant des années, l'exemple de l'assiduité. Il ne déposa son instrument que le jour où l'âge l'obligea à des ménagements. Mais il ne manqua jamais, le jour de la répétition, d'apporter aux musiciens le réconfort de sa présence. Il partageait avec M. le baron Boël, sénateur, et avec M. René Boël, la présidence d'honneur de la société.

Il avait aussi coopéré, il y a environ trente-cinq ans, à la fondation de la Société de prêt "La Prévoyance" pour la construction d'habitations à bon marché. Il présidait le Conseil d'administration, où il avait pris la succession de son ami feu Augustin Gilson.

Le défunt était président du Conseil d'administration de la Société anonyme des Usines, Boulonneries et Etirage de La Louvière.

Il était administrateur de l'Imprimerie Commerciale et Industrielle de La Louvière.

M. Pourbaix avait bon cœur. Pendant la guerre, il se dépensa au service des œuvres d'assistance qui avaient eu recours à lui. L'une d'elles, la Goutte de Lait, trouva en lui un collaborateur d'une fidélité touchante.

M. Alfred Pourbaix laissera des regrest unanimes. Nous avions avec lui des rapports de bonne et sincère amitié qui remontaient à une trentaine d'années. Aussi, ce n'est pas sans une vive émotion que nous saluons sa mémoire.

Nous exprimons à sa famille, à ses enfants, à ses petits-enfants, nos condoléances émues.

Journal 'Les Nouvelles' du 15/02/1930

LES FUNERAILLES DE M. ALFRED POURBAIX

Ce vendredi matin, à 11 heures, avec le concours d'une foule considérable, ont eu lieu les funérailles civiles de M. Alfred POURBAIX, vénérable vieillard resté alerte jusqu'en ces derniers jours, qui fut l'une des figures les plus marquantes de La Louvière et dont, en des discours que nous reproduisons ci-dessous, on a retracé la vie probe et féconde.

Le deuil était conduit par MM. Louis et Nestor POURBAIX, fils du défunt et leurs enfants.

Le cortège funèbre était précédé de l'Harmonie Royale de La Louvière, sous la direction de son chef, M. Emile Dane, du personnel de l'imprimerie I.C.I. sous la conduite de Albert Charlier, directeur, dont le défunt était administrateur.

Les coins du poêle étaient tenus par M. le baron Pol Boël, sénateur; Paul Brezentzer, président du Conseil d'administration de l'Imprimerie Commerciale et Industrielle; Valéry Cousin, administrateur-délégué des Usines Boulonneries et Etirage de La Louvière; Léon Cus, président de l'Association des Commerçants; Camille Deberghe, conseiller provincial, administrateur-gérant de "La Prévoyance"; Emile Mansart, administrateur de "La Prévoyance".

Parmi la foule de ceux qui sont venus témoigner leurs respectueux hommages à la mémoire du défunt et apporter l'expression de leurs condoléances à la famille, nous avons noté:

MM. René Boël, Léon André, F. Bauvois, M. Balaes, Auguste et Georges Nicodème, Corbeau, Hubeau, Roulez, Hosselet, Ledieu, Tonneau, Léon Berger, les docteurs E. Delatte, Mollet, Hallov, Mairiaux, Lescot, Debrichy, Blondeau, Wilmet, Wallon, Mercier, Rappe, Jacques, Mauroit, les notaires Ghilain, Demaret-Ghilain, Bottemanne, Brahy, Pête, Brux, Douillez, Uytdenhoof, MM. P. Hiard, P. Romain, J. Romain, A. E. et V. Duchateau, E. Drugmand, Thoumsin, E. Brogniez, Dambot, M. Gilson, H. Henry, Ch. Thistond, Nagant, Beghain, Staquet, C. Duray, Cuvelier, N.

Moreau, L. et G. L'Hoir, E. Cordoer, H. Guillaume, L. Lequeux, Girlot, E. Draily, O. Roland, E. Urbain, F. Tassier, J. Toby, A. Wéry, J. et L. Bero, A. Bardiaux, H. Chausteur, Leheuve, E. Milcamps, Michotte, P. Cornette, A. Severin, J. Bonge, F. Richard, F. Clarat, E. et M. Drugmand, A. Leteul, Bodart, A. Matton, R. Van den Branden, E. François, R. Meunier, Berlingin, Hubert, R. Hénin, F. Trop, F. Cuisset, L. Deroisy, Herlemont, Damers, Fontaine, Van Grethem, A. Maricq, Casteleyn, Bourgeois, V. Delbart, L. Blanpain, Lacroix-Moureaux, N. Ponsart, A. Dubrecq, Ch. Navez, Coppens, Dumont, Rappez, Barroy, Dewier, Goche, Gorain, Cantiniau, Demay, Rosser, Marote, Debaste, W. Dugauquier, R. Buisseret, J. et Ch; Pourbaix, Dewerpe, Brux, Brancart, G. Schlicker, P. Nagelmacker, Léon Gailly, Hendrickx, Jamaels, F. Brenard, G. Delorge, G. Bovy, A. Wesnes, P. Petit, G. Balasse, M. de Rasse, E. Kavart, A. Musin, J. Hanne, A.

Genart, P. Jonville, C. Wins, S. Meunier, J. Wolon, F. Druart, L. Jérémie, Emonts, A. Pary, R. Monseu, Weiskirchen, Masson, L. Hagne, Juvent, Hubert, Ch. Scmitz, Deghilage, Parmentier, J. Gobiet, Ch. Dupont, H. Muller, L. Deloyers, Weideman, Hautier, Cools, G. Matagne, G. Coppée, J. Dehanschutter, A. Naveau, Ch. Van Damme, Loonen, Moonensis, E. Rollin, Juramie, Libyns, L. Charlez, G. Gobert, O. Dequennes, St Dardenne, D. Clesse, A. Banneux, Overtus, Faucon, A. Charlier, Delorge, Lambiotte, Casteleyn, Henze, Bastin, G. Faleys, L. Cus, J. Raise, G. Monard, J. Bervoets, De Reir, G. Nopère, A. et L. Laurichesse, L. Saux, V. Nachtergael, Menière, Lessire, Lachapelle, Hallez, Urbain, Avaro, Roulez, De Smet, Estrade, Louis Froment, Connard, E. Leduc, P. Lavaert, A. Matton, L. Minique, L. Remelen, Sonnifflet, A. Moreenw, O. Delbert, De Vos, Léon Vilain, A. Mot, C. Ronneau, etc.

M. Alfred POURBAIX, homme de bien, homme d'action, homme d'œuvres, a eu des funérailles dignes de sa longue et bienfaisante carrière.

DISCOURS DE M. LE BARON BOEL, Sénateur:

Le parti libéral louviérois, dont je suis en ce moment l'interprète, ressent vivement, mesdames et messieurs, la perte profonde que lui cause la disparition de notre ami regretté Alfred Pourbaix.

Certes, Alfred Pourbaix était âgé; il avait 87 ans; il était l'un des doyens de La Louvière; lais à le voir alerte, vivant avec intensité la vie louviéroise, toujours allant, ne manquant point une occasion de manifester son activité, l'on avait fini par penser qu'Alfred Pourbaix serait toujours là, présent, avec son sourire si paternel, avec ses bons yeux, toute sa personne respirant la bienveillance, la sympathie et la popularité.

Il eut une belle vie; il vécut heureux jusqu'à ses derniers jours. Il atteignit un âge très avancé sans souffrir de ces infirmités douloureuses qui sont le triste apanage de la vieillesse. Il s'est éteint, sans qu'une maladie soit venue abréger ses jours; il s'en est allé tout doucement, sans secousses, entouré de ses enfants.

La famille et les nombreux amis d'Alfred Pourbaix trouveront une atténuation à leur affliction dans cette pensée reposante que le défunt a eu une fin paisible.

Alfred Pourbaix était libéral, ( )demment libéral. Il resta fidèle toute sa vie aux idées généreuses qu'il avait reçues dès son enfance. Il ne rechercha jamais les honneurs, mais il ne renonça point aux responsabilités. Et quand ses amis crurent devoir solliciter son concours, ce ne fut jamais en vain. Il sut toujours, en toutes circonstances, jusqu'à l'heure de la mort, payer de sa personne.

Il fut conseiller communal; il fut échevin; il remplit les mandats qui lui étaient confiés avec cette conscience qu'il savait apporter en toute choses. La prospérité de La Louvière qu'il avait vue sortir des limbes, la grandeur de cette cité dont, bon citoyen, il était fier, ne cessèrent de faire l'objet de ses préoccupations.

Tout ce qui pouvait contribuer au développement de l'industrie et du commerce le passionnait. Il créa des sociétés diverses. Il est l'un des derniers survivants, sinon le dernier, parmi les fondateurs de l'Association des commerçants de La Louvière. Et personne n'ignore les efforts, tenaces et persévérants, qu'il accomplit pour donner toute la vogue désirable aux fêtes de La Louvière, lesquelles constituent un appoint si précieux pour le commerce local.

Il fut, il y a 73 ans, au nombre des fondateurs de l'Harmonie de La Louvière, de cette Harmonie qui participa à toutes les manifestations qui marquèrent l'existence de notre cité. Il s'était pour ainsi dire identifié avec l'Harmonie, "son" Harmonie. Pendant plus d'un demi-siècle, il montra aux musiciens l'exemple de l'assiduité et il ne renonça à son instrument de musique que le jour où son âge le força à la retraite. Mais, devenu président d'honneur, il assista à toutes les répétitions, où les musiciens étaient heureux de la rencontrer.

On se proposait de célébrer, en même temps que le 75e anniversaire de l'Harmonie, celui d'Alfred Pourbaix qui en avait été le fondateur. Dans une pensée pieuse, l'Harmonie va précéder le cortège qui conduira au champ du repos éternel, celui qui avait donné à la Société le meilleur de lui-même.

D'autres que moi diront sans doute l'activité industrielle et commerciale de notre cher défunt.

Je voudrais évoquer un souvenir qui montrera le grand cœur de celui dont nous pleurons la perte. C'était au début de la guerre. Les heures d'affolement passées, l'on songea à organiser les services de secours et l'alimentation. Les dévouements s'affirmèrent de toutes parts, accomplissant une œuvre gigantesque et que l'on n'a peut-être pas assez admirée, car c'est aux efforts conjugués de tous les bons citoyens que l'on doit l'atténuation des maux de tous genres qu'une guerre impitoyable, faite par un ennemi ( ) et barbare, devaient engendrer. Alfred Pourbaix fut au nombre de ces bons citoyens. Déjà chargé d'ans à cette époque, il eut pu se reposer. Il voulut, lui aussi, payer sa dette à la Patrie. Il se mit à l'œuvre, accomplissant quotidiennement, sans faiblir, la tâche qu'il avait librement acceptée. Mais la guerre durait, les dévouements s'émoussent, les collaborations furent moins efficaces, mais Alfred Pourbaix resta inébranlablement à son poste. Détail touchant: il resta, après la guerre, et jusqu'à ces tout derniers temps, l'une des plus fidèles soutins de la Goutte de Lait, une œuvre entre toutes méritoire. A l'époque où nous vivons et où l'égoïsme règne en maître, il faut souligner le bel exemple donné par un admirable vieillard de 87 ans…..

Le monument funéraire d'Alfred et de sa femme. On remarque cette croix bizarre qui pigeonne sur le sommet du monument, qui ne correspond pas tout à fait au discours général. Photo de l'auteur.

Alfred Pourbaix a passé dans la vie en faisant le bien. Il laisse à ses enfants un patrimoine de loyauté et d'honneur. Il a mérité la reconnaissance de La Louvière. Il s'était conquis l'estime du parti auquel il appartenait. C'est un grand citoyen qui s'en va. Nous saluons sa mémoire avec respect, avec reconnaissance, avec émotion.

DICOURS DE M. VALERY COUSIN

Au nom de la Société Anonyme des Usines Boulonneries et Etirage de La Louvière, j'ai l'honneur de venir déposer sur la tombe d'Alfred Pourbaix, président du Conseil d'Administration et son doyen d'âge, un suprême et dernier hommage.

Alfred Pourbaix fut en 1879 parmi les fondateurs de la Société et il était resté le seul survivant de cette époque.

Désigné, dès le principe, pour faire partie du Comité de surveillance, il devint administrateur en 1896 et, à la mort du regretté Gustave Paternoster, en 1906, ses collègues l'appelèrent à sa succession à la présidence du Conseil.

C'est assez dire, combien ils le tenaient en haute estime et voulaient reconnaître les services qu'il n'avait cessés de rendre dans une carrière bien remplie, où son activité s'était employée avec courage dans les fonctions administratives ou d'entr'aide civique qui devaient donner à La Louvière un prodigieux essor.

Attentif à tout ce qui pouvait être utile à notre prospérité, il avait gardé un profond souci des charges qu'il avait assurées et dont il accomplissait les devoirs avec un zèle des plus minutieux.

Ce n'est pas sans émotion que nous nous rappelons les souvenirs qu'il avait conservés du développement progressif des différentes phases de notre industrie qui se reportent à plus de cinquante ans, et dont il eut à suivre la constante prospérité.

Il aimait à reconnaître l'œuvre importante accomplie par ses collègues à laquelle il avait apporté toute sa collaboration et tout son appui.

A notre tour, nous avons à rendre à sa mémoire un juste tribut de regrets, en assurant à sa famille éplorée que nous conserverons pieusement le souvenir de celui qui consacra sa longue et belle existence à notre activité sociale.

DISCOURS DE M. PAUL BREGENTZER:

Messieurs,

Voici peu de temps, quelques jours à peine, nous nous trouvions réunis, Alfred Pourbaix et ses collègues du Conseil d'Administration de l'Imprimerie Commerciale et Industrielle, au nom duquel je m'exprime. Nous avions déjà déploré la disparition de deux des nôtres, Fidèle Cornet et Simon Tho( ). Nous ne doutions certes pas qu'un nouveau deuil allait brusquement nous frapper encore et affliger tout notre entourage.

Et comment prévoir un si triste événement à brève échéance? Nous tous, ses collègues et amis, étions habitués à le voir si robuste, si alerte, que l'oubli de son grand âge nous avait gagnés. Et quel charmante compagnie que la sienne! Tous ses avis, mûris au cours d'une longue existence, étaient écoutés avec avidité. ( ) d'allure et jeune aussi d'esprit, il était le premier à accueillir les propositions de ses collègues et même à proposer des innovations. Fondateur de l'Imprimerie à laquelle il s'était attaché, il avait vu, d'année en année, s'affirmer la prospérité et le développement de celle-ci. Il s'en réjouissait, s'affirmant excellent administrateur, au commerce courtois, émaillant toujours sa conversation de saillies spirituelles, qui attestaient son éternelle juvénilité. C'est une grande perte pour nous, pour ses parents, ses amis et pour le Centre qu'il aimait tant.

Adieu, mon cher Pourbaix! Que votre famille accepte nos hommages respectueux et nos condoléances émues!

DISCOURS DE M. CAMILLE DEBERGHE:

Les discours éloquents qui viennent d'être prononcés ont évoqués la belle et remarquable activité de M. Alfred Pourbaix: l'on a dit les rares qualités du défunt, faites de dévouements, de ténacité, d'altruisme, inspirées du désir de se rendre utile à la communauté.

M. Alfred Pourbaix appartenait au Conseil d'administration de la Société anonyme "La Prévoyance", dont le but est de seconder les efforts de ceux qui, employés ou ouvriers, veulent devenir acquéreurs de leur maison. Depuis de très nombreuses années, M. Pourbaix apportait à cette œuvre éminemment sociale, un concours où le désintéressement le disputait au souci de bien faire.

Dès avant 1899 déjà, M. Pourbaix appartenait à "La Prévoyance" en qualité de commissaire. Il devint administrateur en 1907 et, en 1922, il était appelé à la présidence du Conseil d'administration.

Depuis lors, M. Pourbaix ne manqua jamais de présider notre réunion mensuelle, apportant, dans l'accomplissement de ses fonctions, cet esprit méthodique qui le caractérisait. Il se réjouissait de la prospérité de notre Société, parce que, profondément imprégné de l'esprit qui avait animé le législateur, il était convaincu de la haute portée morale d'une institution dont le but était d'assurer aux citoyens ayant des ressources modestes, la possibilité de devenir aisément propriétaires de leur home.

 

 

Nous nous souvenons du large sourire qui éclaira sa bonne figure quand, au cours de notre réunion de janvier, il y a quatre semaines à peine, on lui annonça que "La Prévoyance" avait, au cours de l'année écoulée, décaissant six millions quatre cents mille francs, coopéré à faire plus de trois cents nouveaux propriétaires.

M. Pourbaix fut un bienfaiteur social. Il accomplit toujours sa tâche modestement, sans ostentation. Il passa dans la vie en faisant le bien.

Nous perdons en M. Pourbaix un collègue respecté; nous perdons un ami. Il emporte avec lui nos regrets attristés. Les enfants de notre cher défunt permettront à ceux qui, durant de nombreuses années, ont été ses collaborateurs, de partager le deuil qui les afflige. Alfred Pourbaix vivra dans nos mémoires; il vivra dans nos cœurs.

 

voir suite 1 suite 1 des funérailles d'antant

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