ALBUM DE PHOTOS DE PAULINE SPLINGAERD

PHOTOS DIVERSES


Jeune coq

Belle photo de Jean-Baptiste Splingaerd, dit John, à l'Institut St-Boniface à Ixelles (Belgique), en 1906, où il est probable qu'il n'est pas resté très longtemps. Après la mort de Paul Splingaerd, son frère Alphonse payait sa pension via les CICM. On ne sait pas quand il est revenu en Chine mais il y a tout lieu de croire qu'il était déjà de retour en 1908, rappelé par son frère aîné qui partait vers le Gansu.

Magnifique photo du mandarin en civil lors de son séjour en Belgique (1906). Il faut noter que John ressemblait très fort à son frère Alphonse, ce qui propose dans certaines photos, un confusion.


Identifiée par Anne Splingaerd, cette personne serait sa grand-mère Anna Zhang (Anna ZHANG (Tchang-) 張子因 (Zhang Zi Yin), avec ses trois premières filles. Il s'agit de la seule photo de la famille de Remy Splingaerd qui soit incluse dans l'album de Pauline, sa soeur.

Les enfants seraient Elisabeth, Augustine et Marguerite.

Catherine Li-Splingaerd, sans sa coiffe

 

Une des plus belles photo de Paul SPlingaerd, en fin de carrière

idem, mais de moindre qualité. 1906.

 

La dernière photo connue de Paul Splingaerd, probablement juste avant de partir vers le Gansu. 1906

A gauche et à droite un couple ami. Paul qui s'appuie sur sa canne, Thérèse avec sa mère, Ensuite, probablement Pauline.

 

Le même groupe abandonne les voitures au profit d'un tram. A l'arrière, les cochers qui attendant et au-delà, les entrepôts de le compagnie des trams (CTET).

Les promeneurs sont à Tientsin.

 

Après le décès du mandarin

La très belle Lucie Splingaerd devenue femme de Albert Paternoster

Albert Paternoster lors de son arrivée en Chine

 

Cette photo incluse dans l'album de Pauline, marque sans doute son admiration de chinoise envers ses dirigeants. Coloriée sur positif telle qu'on la trouve dans l'album, le regard des 7 mandarins est malheureusement faussé car ils ont tous été retouchés. Il n'existe aucune indication permettant de savoir s'il s'agit de notables de Lanzhou ou de Péking. Les carrés mandarin que l'on peut regarder à la loupe portent un oiseau, indiquant qu'il s'agit de mandarins de haut niveau, comme Lin Fuchen. La plupart portent leur shuff dans la main. Comme cette habitude de présenter cette petite fiole de parfum à son interlocuteur est plutôt d'origine mongole, nous pensons qu'il s'agit de notables de Lanzhou.

Tout le monde aura reconnu le mandarin Paul Splingaerd au centre. Quant au jeune homme qui se trouve à droite, c'est d'après la tradition familiale, le nommé Stanislas Lin-Splingaerd, assimilé ultérieurement aux enfants de la famille où il était entré comme domestique en vue de procurer de l'argent à son père, mandarin déchu. Ce dernier dont on ne connait pas le nom est probablement le personnage qui tient l'enfant entre ses genoux. L'enfant prit alors le nom de Lin-Splingaerd en vue de ne pas porter le nom d'une personne déchue et déshonnorée.

Il faut noter que cette photo se trouve également dans l'album de Hortense Splingaerd, en Californie.

 

L'ancien pont de bateaux de Lanzhou, avant son remplacement par le pont de fer construit en 1909 par Telge. Une photo sans doute inconnue des Chinois car il s'agit d'une photo d'amateur. Magnifique !

Dans l'album, cette photo isolée. Est-elle Anne Colette Zhang?

 

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Christian Goens - La Louvière - Belgium - feb 2014 - t ous droits réservés

last update 10-avr-19